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Sur le marché du trading sur marge du Forex, une question fondamentale se pose : les participants considèrent-ils les gains à court terme comme leur seul objectif, ou perçoivent-ils le trading comme une profession exigeant un investissement à long terme et une amélioration continue ? La réponse à cette question détermine tous les comportements ultérieurs et les structures d’exposition au risque.
Si le trading est perçu uniquement comme un outil de profit rapide, chaque fluctuation de prix se traduit directement par une réaction émotionnelle immédiate : les gains procurent une euphorie passagère, tandis que les pertes engendrent une douleur intense. Dans ce cas, les règles de gestion des risques sont facilement supplantées par un trading impulsif, et l’exécution de la stratégie est compromise par les variations des fonds propres, créant ainsi un cercle vicieux : « trading haute fréquence – pertes importantes – décisions émotionnelles ». Avec le temps, la courbe de capital continue de baisser, le seuil de stress psychologique diminue et l'expérience de trading devient naturellement difficile, voire pénible.
À l'inverse, si le trading est envisagé comme une profession ou un sujet de recherche, tout résultat de marché sera intégré au cadre statistique de l'échantillon : les profits sont considérés comme des validations de l'efficacité de la stratégie et les pertes comme des informations nécessaires à l'amélioration du modèle.
À ce stade, une forte perte ponctuelle n'est plus simplement attribuée à la « malchance », mais est redéfinie comme un « dépassement du budget de risque » ou un « échec des tests d'hypothèses », déclenchant ainsi une revue du système et un ajustement des paramètres. Les chocs émotionnels sont absorbés par le mécanisme de revue institutionnalisé et le processus de trading gagne en stabilité et en reproductibilité.
Cette différence de perspective correspond essentiellement à la différence entre « acceptation passive » et « gestion active ». La première considère les fluctuations du marché comme des menaces externes, tandis que la seconde les perçoit comme des conditions expérimentales observables, quantifiables et exploitables. Un même événement se voit attribuer des significations radicalement différentes selon les contextes, engendrant des réactions tout aussi radicalement différentes.
Une logique similaire s'observe dans le monde du travail traditionnel. Deux programmeurs sont confrontés à la même exigence de projet : l'un la perçoit comme « l'exécution passive d'une tâche », tandis que l'autre la voit comme « un scénario expérimental pour valider une nouvelle architecture technologique ». Le premier cherche à minimiser son implication personnelle, tandis que le second s'attache à maximiser ses gains cognitifs. À court terme, tous deux produisent du code, mais à long terme, la divergence en matière d'accumulation de connaissances et de parcours professionnel devient de plus en plus significative.
Un contraste plus extrême encore se manifeste entre deux états aux espaces physiques très similaires mais aux espaces psychologiques totalement opposés : une cellule de prison et un refuge isolé. Tous deux restreignent les mouvements et simplifient les conditions de vie, mais la première est imposée de l'extérieur, tandis que la seconde est un choix volontaire. Le sens de verrouillage détermine la nature de l'expérience : être enfermé provoque de la douleur, tandis que s'enfermer soi-même favorise la concentration ; la première implique un compte à rebours avant la libération, tandis que la seconde implique un compte à rebours avant la progression. Des contraintes physiques apparemment identiques peuvent engendrer des conséquences psychologiques radicalement différentes en raison de la répartition inégale du contrôle.
Reprenons l'exemple du trading forex : lorsque les participants clarifient la relation principale et secondaire entre « recherche de profit » et « positionnement professionnel », ils franchissent une étape cruciale, passant d'une réaction passive à une stratégie proactive. Dès lors, la courbe de capital n'est plus tracée aléatoirement par les conditions du marché, mais continue d'être définie par des règles de gestion des risques à espérance mathématique positive ; les profits et les pertes individuels ne suscitent plus de jugements de valeur, mais constituent simplement des exemples inévitables sous l'effet de la loi des grands nombres. Ainsi, le comportement de trading s'éloigne du contexte à somme nulle de la « recherche de gain rapide » pour entrer dans le contexte professionnel de la « recherche de stabilité systémique ». Le profit devient alors un sous-produit d'une exécution rigoureuse et à long terme, plutôt qu'un objectif direct dicté par les émotions. En d'autres termes, clarifier sa motivation revient à changer la serrure de l'intérieur, à en garder la clé en main et à transformer les fluctuations du marché, d'une menace extérieure, en une source de motivation intérieure, rapprochant ainsi le trader d'une rentabilité durable.

Le critère principal pour les citoyens suisses fournissant des services de gestion d'actifs n'est pas la nationalité, mais plutôt le respect intégral d'une série d'exigences.
Dans le domaine des investissements bilatéraux en devises, les modèles MAM (Multi-Account Manager) et PAMM (Percentage Allocation Management Module) relèvent de la gestion d'actifs pour le compte de clients. Pour les non-Suisses, la capacité à fournir des services similaires aux citoyens suisses via ces deux modèles n'est pas directement déterminée par la nationalité. L'enjeu principal réside dans leur capacité à satisfaire pleinement aux exigences réglementaires strictes de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA), notamment en matière d'agrément, de structure d'entreprise et de normes de déontologie. Les conditions de conformité pertinentes peuvent être analysées en détail selon trois axes principaux : l'accès à l'agrément, les entités de soutien et la conformité réglementaire. Ces axes sont interdépendants et indispensables, et constituent le prérequis à l'exercice légal de l'activité.
L'exigence première et essentielle est l'obtention de l'agrément de gestion d'actifs correspondant. La Suisse applique des normes réglementaires extrêmement strictes en matière de gestion d'actifs. Que le prestataire soit de nationalité suisse ou non, toute personne exerçant des services de gestion d'actifs tels que la gestion de portefeuille automatisée (MAM) ou la gestion de portefeuille assistée par ordinateur (PAMM) à des fins commerciales doit préalablement obtenir les autorisations ou licences réglementaires délivrées par la FINMA. Toute activité commerciale exercée sans licence est considérée comme illégale. Plus précisément, si un ressortissant étranger agit en tant que gestionnaire étranger et prévoit d'affecter des employés en Suisse de manière permanente pour gérer des actifs associés, il doit soumettre une demande à la FINMA et obtenir son approbation avant d'établir légalement une succursale. Le processus d'établissement et les normes opérationnelles de la succursale doivent également être pleinement conformes aux exigences réglementaires de la FINMA. Pour les entreprises de gestion de portefeuille fortement liées aux modèles PAMM et MAM, les praticiens doivent également obtenir une licence spéciale délivrée par la FINMA et se soumettre à une surveillance et à des inspections continues de la FINMA tout au long de leurs opérations. Le champ d'application de cette surveillance porte sur des aspects clés tels que la standardisation des opérations commerciales et la mise en œuvre de la protection des droits des clients, garantissant ainsi la conformité de l'ensemble du processus aux exigences réglementaires.
Deuxièmement, les exigences de conformité s'appliquent tant aux personnes physiques qu'aux institutions. Si un ressortissant étranger choisit d'exercer une activité de gestion d'actifs liée à la gestion d'actifs (MAM/PAMM) sous une dénomination institutionnelle, sa structure institutionnelle doit être strictement conforme aux dispositions expresses de la législation et de la réglementation suisses en vigueur. Concernant l'équipe de direction, l'institution doit compter au moins un administrateur de nationalité suisse ou ressortissante de l'UE résidant effectivement en Suisse ; si l'institution compte un grand nombre d'administrateurs, la majorité doit être de nationalité suisse. Cette exigence vise à garantir une conformité efficace entre les activités de l'institution et le système réglementaire suisse. Parallèlement, l'institution doit satisfaire aux exigences fondamentales en matière de structure organisationnelle et de solidité financière. Elle doit notamment mettre en place une structure de gouvernance interne et un système de contrôle des risques conformes à la réglementation. En termes de capital, les institutions s'enregistrant pour exercer des activités connexes doivent disposer d'un capital social libéré d'au moins 20 000 CHF, intégralement libéré et soumis à vérification par les autorités de réglementation. À titre individuel, les praticiens doivent fournir aux autorités de réglementation des documents attestant de leur absence d'antécédents disciplinaires et démontrant leurs qualifications et compétences professionnelles requises pour exercer l'activité concernée. Si l'activité comprend des opérations de lutte contre le blanchiment d'argent, un dossier de conformité personnel supplémentaire est requis. Ce dossier doit inclure des informations clés telles que les attestations de formation à la conformité et les résultats de l'évaluation de la sensibilisation aux opérations de lutte contre le blanchiment d'argent, garantissant ainsi que la conduite professionnelle de la personne concernée est conforme aux normes en vigueur.
De plus, l'exercice de telles activités exige le strict respect des règles réglementaires spécifiques et des normes d'autorégulation du secteur. Outre la réglementation directe de la FINMA, les activités de gestion d'actifs connexes peuvent également être soumises aux exigences d'autorégulation du secteur. En pratique, une voie courante de mise en conformité consiste à adhérer à un organisme d'autorégulation sectoriel reconnu par la FINMA, tel que l'Association des intermédiaires financiers de la Région francophone de Suisse (ARIF). L'adhésion à un tel organisme d'autorégulation requiert de remplir plusieurs conditions préalables, notamment posséder les compétences professionnelles requises, suivre la formation à la conformité d'une durée déterminée et réussir l'évaluation L’adhésion à un organisme d’autorégulation conforme permet de mener plus efficacement des activités de gestion de portefeuille, notamment les modèles MAM et PAMM. Parallèlement, et pendant toute la durée de la prestation, le strict respect des lois suisses en matière de lutte contre le blanchiment d’argent, de protection des investisseurs et autres lois et réglementations applicables est requis. Ceci garantit la transparence et la traçabilité de toutes les étapes de la levée de fonds, de la conservation des actifs, des opérations d’investissement et de la distribution des bénéfices, protégeant ainsi efficacement les droits et intérêts légitimes des investisseurs et prévenant les infractions telles que le détournement de fonds ou la divulgation insuffisante d’informations.
En résumé, le critère essentiel permettant aux non-résidents suisses d’utiliser légalement les modèles MAM ou PAMM pour fournir des services de gestion d’actifs à des citoyens suisses n’est pas la nationalité, mais plutôt le respect intégral des exigences susmentionnées en matière de qualifications, de structure institutionnelle, de conduite personnelle et de conformité opérationnelle. Dès lors qu’ils se conforment pleinement à toutes les exigences réglementaires et normatives, les non-résidents suisses peuvent légalement exercer cette activité. À l’inverse, s’ils n’obtiennent pas l’agrément FINMA correspondant, s’ils présentent une structure institutionnelle inappropriée ou s’ils ne respectent pas les exigences en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et d’autorégulation du secteur, quelle que soit leur nationalité, l’exercice de telles activités de gestion d’actifs sera considéré comme une infraction par les autorités réglementaires suisses et entraînera des conséquences juridiques telles que des sanctions administratives et la fermeture de l’entreprise.

Les deux parties doivent signer un accord de conformité, précisant les droits et obligations de chacune, afin de garantir une coopération harmonieuse. Cette approche est particulièrement courante chez les gestionnaires de fonds externes utilisant les systèmes PAMM/MAM, qui contournent habilement les difficultés liées à l'obtention d'une licence directe et exercent leurs activités en toute sérénité.
Dans le domaine du trading bidirectionnel sur le marché des changes, les ressortissants non suisses peuvent effectivement fournir des services de gestion de portefeuille professionnels à des citoyens suisses via les modèles de gestion MAM (Multi-Account Manager) ou PAMM (Percentage Allocation Management Module). Cependant, cette opération doit être réalisée dans le respect du cadre réglementaire financier suisse, très strict ; toute négligence peut constituer une infraction et entraîner de graves conséquences.
Le système de réglementation financière suisse est reconnu pour sa rigueur et son efficacité, notamment pour son contrôle complet et approfondi des services financiers tels que la gestion d'actifs, le conseil en investissement et la gestion de fonds. La FINMA (Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers), en tant qu'organe de régulation central, assume la lourde responsabilité d'agréer et de superviser les intermédiaires financiers afin de garantir l'ordre du marché.
Depuis 2020, la Loi sur les services financiers (LSFin) et la Loi sur les institutions financières (LIFin) sont entrées en vigueur, définissant clairement les règles applicables au secteur des services d'investissement. Toute personne physique ou morale fournissant des services d'investissement doit être titulaire des licences requises, sous peine de sanctions sévères.
Concernant l'obligation d'obtenir une licence, les critères déterminants ne sont pas la nationalité du prestataire, mais plutôt les suivants : le ciblage précis du marché ou de la clientèle suisse (résidents et citoyens suisses) ; la nature du service (gestion d'actifs, conseil en investissement, etc.), qui requiert généralement une licence ; l'établissement du prestataire en Suisse ou ses relations régulières avec la clientèle suisse ; et le recours aux ressources d'intermédiaires suisses agréés, tels que des banques ou des sociétés de gestion d'actifs, pour mener à bien son activité. Point crucial, même si un ressortissant étranger est établi à l'étranger, par exemple à Chypre, au Royaume-Uni ou à Singapour, si ses services de gestion de portefeuille (PAMM/MAM) sont considérés comme du démarchage actif de clients suisses ou constituent une pratique courante, les exigences réglementaires de la FINMA peuvent être déclenchées immédiatement et sans hésitation.
Face à cette réglementation stricte, les ressortissants étrangers ne sont pas démunis ; plusieurs solutions s'offrent à eux. Premièrement, ils peuvent relever le défi en sollicitant l'agrément de la FINMA pour devenir gestionnaire d'actifs agréé. Toutefois, cette démarche est loin d'être simple ; le processus est complexe et coûteux, et exige le respect de nombreuses conditions rigoureuses, notamment en matière de fonds propres, de compétences professionnelles et de conformité aux réglementations anti-blanchiment d'argent (LCB). Il est difficile d'y parvenir sans une préparation et des compétences approfondies. Deuxièmement, ils peuvent tirer parti des ressources existantes en s'associant à des institutions suisses agréées par la FINMA, telles que des banques et des sociétés de gestion d'actifs. Ces institutions, en tant qu'entités juridiques, fournissent les services, tandis que les ressortissants étrangers interviennent en tant que conseillers techniques ou stratégiques, apportant leur expertise en coulisses. Les deux parties doivent signer un accord de conformité clarifiant les responsabilités et garantissant une coopération harmonieuse. Cette approche est particulièrement courante chez les gestionnaires de fonds externes utilisant des systèmes PAMM/MAM, qui contournent habilement les difficultés liées à l'obtention directe d'une licence et mènent leurs activités de manière stable. Troisièmement, ils peuvent sélectionner soigneusement leurs clients, en résistant à la tentation de les démarcher activement et en ne fournissant leurs services qu'occasionnellement à quelques clients suisses, l'ensemble des services étant réalisé à l'étranger. Ce modèle de « démarchage inversé » bénéficie, en théorie, d'exemptions réglementaires. Toutefois, il est important de noter que cette exemption est progressivement restreinte par les autorités de réglementation et que les risques augmentent insidieusement. Une évaluation minutieuse et une réflexion approfondie sont essentielles avant d'aller plus loin.
Les services transfrontaliers soulèvent également le défi de la coordination réglementaire internationale. Si le pays de résidence d'un ressortissant non suisse est soumis à des réglementations internationales telles que MiFID II de l'UE, la FCA du Royaume-Uni ou la CySEC de Chypre, ces licences prestigieuses ne peuvent être exercées librement en Suisse. La reconnaissance mutuelle des réglementations financières entre la Suisse et l'UE n'est pas encore pleinement effective et des obstacles à la coordination réglementaire internationale persistent. Les personnes non suisses doivent prendre conscience de cette réalité et anticiper leurs stratégies.
En conclusion, pour les personnes non suisses utilisant des services MAM/PAMM destinés aux citoyens suisses, la nationalité n'est pas un obstacle ; le respect de la réglementation est essentiel. Seule une culture de la conformité et une compréhension précise de la réglementation permettront d'y parvenir En maîtrisant ce paysage financier complexe et en choisissant la bonne voie de conformité, on peut cultiver ce terrain fertile de la finance, récolter les fruits de ses investissements et réaliser le rêve d'une plus-value.

Des conditions strictes d'ouverture de compte sont imposées aux citoyens chinois qui possèdent uniquement une carte d'identité de Chine continentale et une adresse enregistrée en Chine continentale, mais qui ne disposent pas d'un statut de résident permanent à l'étranger, d'une preuve d'emploi à l'étranger ou d'un statut de résident fiscal étranger. La plupart des courtiers respectant ces conditions refusent même catégoriquement d'ouvrir un compte à ce groupe.
Dans le contexte du trading de devises bidirectionnel, le gouvernement fédéral américain n'a pas publié de réglementation explicite restreignant ou interdisant aux citoyens chinois d'ouvrir des comptes de trading. Il convient toutefois de préciser que les courtiers forex réglementés par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) et la National Futures Association (NFA) américaines combinent généralement la gestion de la conformité transfrontalière, les exigences en matière de lutte contre le blanchiment d'argent (LCB) et les procédures de vigilance à l'égard de la clientèle (CDD) afin d'imposer des conditions strictes d'ouverture de compte aux citoyens chinois qui possèdent uniquement une carte d'identité chinoise et une adresse enregistrée en Chine continentale, mais ne disposent pas d'un statut de résident permanent à l'étranger, d'une preuve d'emploi à l'étranger ni d'un statut de résident fiscal étranger. La plupart des courtiers conformes refusent même catégoriquement d'ouvrir un compte à ce groupe.
En substance, cette restriction à l'ouverture de compte ne découle pas d'une interdiction explicite du gouvernement américain. Les principaux facteurs déterminants résident dans les besoins de contrôle des risques propres aux courtiers et dans les exigences objectives de la coordination réglementaire transfrontalière.
Parmi les principaux facteurs affectant spécifiquement l'ouverture de compte, le premier est la contrainte engendrée par les différences entre les exigences de conformité réglementaire et les politiques des courtiers. La CFTC et la NFA ont élaboré une série de règles réglementaires strictes pour le trading de devises au détail, incluant des exigences fondamentales telles que des limites d'effet de levier pour les principales paires de devises (maximum 50:1), la ségrégation obligatoire des fonds des clients et la divulgation complète des informations financières du courtier. Afin d'éviter efficacement les risques potentiels liés à la réglementation transfrontalière, la plupart des courtiers forex réglementés stipulent explicitement dans leurs conditions d'ouverture de compte qu'ils ne fournissent pas leurs services aux non-résidents fiscaux américains ni aux non-résidents de longue durée de Chine continentale, et qu'ils n'ouvrent de compte qu'aux citoyens chinois titulaires d'une carte verte (résidence permanente aux États-Unis), d'un visa de travail américain, d'un certificat de résidence de longue durée ou bénéficiant d'un statut de résident fiscal américain (par exemple, la possibilité de soumettre des formulaires fiscaux W-9). À titre d'exemple, la procédure de vérification actuelle pour l'ouverture de compte des sociétés forex agréées aux États-Unis exige explicitement une preuve de travail ou de résidence à l'étranger de longue durée, telle que des factures de services publics étrangères, des contrats de travail officiels et des permis de séjour. Les demandes basées uniquement sur des documents provenant de Chine continentale ont quasiment toutes les chances d'aboutir. De plus, les rares courtiers forex de détail titulaires d'une licence NFA s'adressent principalement aux résidents américains via leurs opérations basées aux États-Unis. Les non-résidents américains souhaitant ouvrir un compte doivent généralement soumettre leur demande auprès des organismes de réglementation établis par ces courtiers dans d'autres régions, comme le Royaume-Uni (réglementé par la Financial Conduct Authority, FCA) ou l'Australie (réglementé par l'ASIC). L'ouverture d'un compte dépend des politiques de service régionales de l'organisme de réglementation compétent.
Par ailleurs, les procédures strictes de connaissance du client (KYC) et de lutte contre le blanchiment d'argent (LCB-FT), ainsi que les normes de vérification d'identité, complexifient davantage l'ouverture de comptes pour les citoyens chinois auprès de courtiers forex américains. Conformément à la réglementation NFA, les courtiers sont tenus de mettre en œuvre des procédures KYC et de vérification LCB-FT rigoureuses. Les citoyens chinois souhaitant ouvrir un compte doivent fournir une série de pièces justificatives, notamment un passeport valide, un justificatif de domicile aux États-Unis ou dans un autre pays étranger, une preuve de la légalité de la provenance des fonds et une déclaration de résidence fiscale (telle que le formulaire W-8BEN). Pour les demandeurs ne pouvant fournir qu'une carte d'identité de Chine continentale et un justificatif de domicile, mais aucun justificatif de domicile ou d'emploi à l'étranger, l'ouverture de leur compte est quasiment vouée à l'échec lors de l'examen du courtier. Parallèlement, les courtiers peuvent recourir à diverses méthodes auxiliaires de vérification d'identité, telles que la géolocalisation du demandeur par adresse IP et la vérification de la localisation de son numéro de téléphone portable. Si le demandeur est localisé en Chine continentale, l'ouverture de son compte peut être directement bloquée, ou des justificatifs supplémentaires attestant d'une résidence de longue durée à l'étranger peuvent être exigés.
La réglementation chinoise en matière de change constitue également une contrainte majeure pour les services d'ouverture de compte proposés par les courtiers forex américains aux citoyens chinois. Actuellement, la Chine continentale n'a pas encore autorisé l'ouverture de comptes en Chine continentale Le trading de devises sur marge pour particuliers est interdit ; les achats de devises par des particuliers ne sont autorisés que pour des motifs conformes à la réglementation, tels que le tourisme, les études à l'étranger et les soins médicaux. L'utilisation des devises achetées pour des investissements à l'étranger est formellement prohibée. Dans ce contexte, si des courtiers forex étrangers proposent activement l'ouverture de comptes de trading sur marge aux résidents de Chine continentale, ils peuvent être soupçonnés de démarchage illégal. C'est pourquoi la plupart des courtiers forex américains, soucieux de la conformité, limitent leurs services aux clients de Chine continentale afin de respecter la réglementation chinoise. De plus, les transferts de fonds transfrontaliers sont strictement réglementés. Les particuliers de Chine continentale sont soumis à des limites annuelles clairement définies pour leurs achats et règlements de devises, et les transferts de fonds doivent faire l'objet d'un contrôle de conformité. Tout transfert illégal de fonds pour un investissement forex à l'étranger peut entraîner le gel du compte et des pertes financières.
Les différences en matière de protection des investisseurs et de couverture d'indemnisation freinent également les courtiers forex américains dans leur volonté de servir les citoyens chinois. Les organismes américains de protection des investisseurs, tels que la Securities Investor Protection Corporation (SIPC), couvrent principalement les comptes de trading des résidents américains. Les personnes ne résidant pas aux États-Unis (y compris les citoyens chinois) n'ont généralement pas accès à ce type de compensation. Cette situation accroît non seulement l'exposition au risque des citoyens chinois sur le marché des changes américain, mais contraint également les courtiers à supporter des risques potentiels plus élevés lorsqu'ils traitent avec des clients non locaux, réduisant ainsi leur incitation à proposer des services d'ouverture de compte aux citoyens chinois.
Concernant les voies d'ouverture de compte possibles et les précautions à prendre, les citoyens chinois éligibles peuvent déposer une demande d'ouverture de compte par les voies légales. Plus précisément, les citoyens chinois titulaires d'une carte verte (résident permanent des États-Unis), d'un visa de travail américain, d'un certificat de résidence de longue durée ou d'un statut de résident fiscal américain peuvent préparer et soumettre un dossier complet conformément aux exigences réglementaires de la NFA et demander l'ouverture d'un compte auprès d'un courtier forex américain agréé. Une fois leur demande approuvée, ils pourront commencer à trader. Les citoyens chinois ne remplissant pas les conditions requises peuvent opter pour un courtier forex international également agréé par d'autres organismes de réglementation majeurs tels que la FCA au Royaume-Uni et l'ASIC en Australie. Ils peuvent alors soumettre leur demande d'ouverture de compte par l'intermédiaire de son entité non réglementée aux États-Unis. Toutefois, avant toute demande, il est essentiel de vérifier que l'entité réglementée est autorisée à fournir des services aux citoyens chinois et que l'ensemble du processus de transaction respecte scrupuleusement la réglementation chinoise en matière de change et les obligations déclaratives fiscales. Il est particulièrement important de noter que les résidents de Chine continentale qui tenteraient de contourner ces restrictions en ouvrant des comptes par des voies non conformes s'exposeraient à de multiples risques, notamment des difficultés de transfert de fonds, le gel de leurs comptes de trading par les autorités de régulation ou les courtiers, et l'impossibilité d'exercer un recours légal en cas de litige. De plus, l'utilisation illégale de fonds en devises étrangères pour des investissements à l'étranger peut enfreindre les lois et réglementations en vigueur, telles que le « Règlement de la République populaire de Chine sur le contrôle des changes », et entraîner des poursuites judiciaires.
En résumé, bien qu'aucune interdiction explicite n'empêche les citoyens chinois d'ouvrir des comptes de trading de devises au niveau réglementaire américain, les exigences réglementaires strictes de la CFTC et de la NFA, les impératifs de conformité transfrontalière et de contrôle des risques des courtiers forex américains, conjugués aux contraintes de la réglementation des changes en Chine continentale, rendent extrêmement difficile l'ouverture de comptes auprès de courtiers forex américains pour les citoyens chinois ne possédant que des documents chinois continentaux et ne disposant pas des qualifications requises à l'étranger. Cependant, les citoyens chinois bénéficiant d'une résidence permanente aux États-Unis ou d'un statut de résident fiscal américain peuvent soumettre une demande d'ouverture de compte auprès de courtiers forex américains agréés, conformément aux procédures en vigueur, et, après approbation, participer à des opérations de change bidirectionnelles.

Les autorités canadiennes n'interdisent pas explicitement l'ouverture de comptes aux citoyens chinois, mais les contrôles de conformité sont souvent difficiles à réussir.
Dans le cadre des transactions bidirectionnelles sur le marché des changes, le Canada ne dispose d'aucune réglementation nationale interdisant explicitement aux citoyens chinois d'ouvrir des comptes. Cette approche réglementaire diffère de celle de certains pays qui imposent des restrictions explicites. Il convient toutefois de noter que les courtiers en devises réglementés par l'Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM) combinent généralement leurs propres politiques de conformité, exigences en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et normes de vigilance à l'égard de la clientèle (VDC) avec la réglementation chinoise pertinente afin de fixer les seuils d'ouverture de comptes pour les citoyens chinois, en particulier ceux résidant en Chine continentale. Certains établissements restreignent même directement la prestation de leurs services. En substance, ces restrictions ne découlent pas d'interdictions explicites du gouvernement canadien. Le principal facteur déterminant réside dans les besoins et les considérations des courtiers en matière de gestion des risques, afin d'éviter les risques de non-conformité transfrontaliers.
Plus précisément, les principaux facteurs restrictifs affectant l'ouverture de comptes par les citoyens chinois sont multiples, les différences de politiques de conformité des courtiers constituant la principale variable. Pour atténuer les risques de conflits réglementaires transfrontaliers, la plupart des courtiers titulaires d'une licence de l'OCRCVM définissent explicitement la portée de leurs services dans leurs contrats d'utilisation ou leurs procédures d'ouverture de compte. Ils excluent généralement les « résidents de Chine continentale qui ne résident ni ne travaillent au Canada ou dans d'autres régions d'outre-mer à long terme », n'acceptant que les demandes de citoyens chinois pouvant justifier d'une résidence ou d'un emploi de longue durée au Canada ou à l'étranger (comme le statut de résident permanent, un visa de travail), ou possédant une résidence fiscale locale. Même certains courtiers de renommée internationale titulaires d'une licence de l'OCRCVM (comme FXCM) n'offrent généralement pas de services aux non-résidents par l'intermédiaire de leurs entités d'exploitation canadiennes. Au lieu de cela, ils servent des clients internationaux par l'intermédiaire d'entités réglementées par d'autres organismes de réglementation régionaux (tels que des entités réglementées par la Financial Conduct Authority (FCA) du Royaume-Uni ou l'Australian Securities and Investments Commission (ASIC)). Dans ce cas, la possibilité pour un citoyen chinois d'ouvrir un compte dépend principalement des politiques de service régionales de cet organisme de réglementation transfrontalier, plutôt que des exigences de conformité liées à sa licence de l'OCRCVM.
L'application rigoureuse des procédures de lutte contre le blanchiment d'argent et de connaissance du client (KYC) complexifie encore davantage l'ouverture de comptes pour les citoyens chinois. Conformément aux exigences obligatoires de l'OCRCVM, les courtiers réglementés par cet organisme doivent mettre en œuvre des processus KYC rigoureux et des mécanismes de vérification anti-blanchiment d'argent. Lorsqu'un citoyen chinois souhaite ouvrir un compte, il doit fournir un passeport valide, une preuve de domicile (qui doit être une adresse de résidence au Canada ou dans une autre région à l'étranger) et une preuve de la légalité de la provenance des fonds. Certains courtiers exigent également des documents de déclaration de résidence fiscale (tels que le formulaire W-8BEN pour les non-résidents fiscaux américains et le formulaire W-9 pour les résidents fiscaux américains). En revanche, si un demandeur ne peut fournir qu'une adresse de résidence en Chine continentale, son compte ne pourra pas être ouvert. Sans justificatif de domicile ou d'emploi à l'étranger, la demande d'ouverture de compte d'un particulier muni d'une pièce d'identité et d'un justificatif de domicile sera généralement refusée lors du contrôle de conformité du courtier. Cette vérification est essentielle pour permettre aux courtiers de se prémunir contre les risques de blanchiment d'argent et les obligations réglementaires transfrontalières.
Les contraintes réglementaires et de change en Chine constituent un autre facteur externe majeur influençant les stratégies de service des courtiers. Actuellement, le trading de devises sur marge pour les particuliers n'est pas autorisé en Chine continentale. Le montant et la finalité des achats de devises sont strictement réglementés et ne sont autorisés que dans des cas conformes tels que le tourisme, les études à l'étranger et les soins médicaux. L'investissement à l'étranger est formellement interdit. Dans ce contexte, si des courtiers étrangers proposent activement des services de trading de devises à des résidents chinois, ils peuvent être soupçonnés de démarchage illégal et s'exposer à des risques de poursuites judiciaires. Par conséquent, la plupart des courtiers réglementés par l'OCRCVM et respectueux des principes de conformité utilisent des moyens techniques pour restreindre l'ouverture de compte depuis des adresses IP chinoises ou exigent un justificatif de domicile à l'étranger lors de l'examen de la demande, afin de respecter la réglementation chinoise. Cette restriction passive limite davantage les possibilités offertes aux résidents chinois. Ouvrir des comptes.
Les différences de couverture des mécanismes d'indemnisation des investisseurs réduisent indirectement la volonté des courtiers de servir des clients non locaux. Le Canada dispose d'un Fonds de protection des investisseurs (FPI) dont la principale fonction est d'indemniser financièrement les investisseurs dans des cas extrêmes comme la faillite d'un courtier. Cependant, il devrait être Il a été précisé que la couverture du Fonds canadien de protection des investisseurs (FCPI) est limitée aux comptes des résidents canadiens ; les non-résidents (y compris les citoyens chinois) ne peuvent généralement pas bénéficier de ce droit à indemnisation. Pour les courtiers, fournir des services aux non-résidents sans mécanisme d’indemnisation complique non seulement la gestion des litiges clients, mais accroît également leurs propres risques opérationnels. Par conséquent, la plupart des institutions réduisent proactivement leur offre de services aux clients non locaux. Bien que ce facteur ne constitue pas une restriction directe, son impact sur la faisabilité de l’ouverture de comptes est tout aussi important.
D’un point de vue pratique, il existe des solutions claires et réalisables pour les citoyens chinois souhaitant ouvrir des comptes de change réglementés au Canada, sous réserve du respect de certaines conditions préalables et précautions. Les principaux cas de figure concernent les citoyens chinois titulaires d’un statut de résident permanent (RP) canadien, d’un visa de travail, d’un visa d’études ou d’une preuve de résidence de longue durée au Canada, ainsi que ceux qui sont devenus résidents fiscaux canadiens. Ces personnes peuvent préparer une documentation complète attestant de leur identité, de leur résidence et de leurs fonds, conformément aux exigences réglementaires de l’OCRCVM, et soumettre une demande d’ouverture de compte à un courtier conforme à la réglementation de l’OCRCVM. Le compte sera ouvert une fois la procédure d'examen requise terminée.
Pour les citoyens chinois ne répondant pas aux critères de résidence ou de statut canadiens, une solution alternative consiste à choisir un courtier international agréé par des organismes de réglementation internationalement reconnus, tels que la FCA au Royaume-Uni ou l'ASIC en Australie, et à soumettre une demande d'ouverture de compte par l'intermédiaire de leur entité réglementée non canadienne. Il est cependant crucial de s'assurer que l'organisme de réglementation compétent du courtier international est autorisé à fournir des services aux citoyens chinois et de respecter scrupuleusement la réglementation chinoise en matière de gestion des changes et les obligations de déclaration fiscale afin d'éviter les risques liés à des opérations irrégulières.
Il est particulièrement important d'insister sur les risques de non-conformité. Les résidents de Chine continentale qui tentent de contourner les restrictions susmentionnées en ouvrant des comptes par des voies non conformes s'exposent à de multiples risques, notamment des difficultés de transfert de fonds (les fonds utilisés pour des investissements à l'étranger n'étant pas conformes à la réglementation chinoise, ils peuvent être interceptés lors du transfert). Risque de gel de compte (les courtiers étrangers peuvent geler directement les fonds s'ils découvrent des documents d'ouverture de compte falsifiés ou irréguliers lors de vérifications ultérieures) ; difficultés de résolution des litiges (les comptes ouverts par des voies non conformes ne bénéficient généralement d'aucune protection de la part des organismes de réglementation des deux juridictions, ce qui complique la défense des droits par voie légale en cas de litige avec les courtiers). De plus, l'utilisation illégale de fonds pour des investissements à l'étranger constitue une violation des réglementations en vigueur, telles que les « Mesures administratives relatives aux opérations de change individuelles », et peut entraîner des sanctions réglementaires.
En résumé, bien que les autorités canadiennes n'interdisent pas explicitement l'ouverture de comptes aux citoyens chinois et que le contexte réglementaire global soit relativement ouvert, les courtiers réglementés par l'OCRCVM, soucieux de prévenir les risques de non-conformité transfrontaliers et de gérer leurs propres risques, et compte tenu des contraintes liées à la réglementation chinoise des changes, rendent l'ouverture de comptes extrêmement difficile pour les résidents de Chine continentale ne possédant ni permis de séjour ni permis de travail à l'étranger. Dans la plupart des cas, ces comptes ne satisfont pas aux exigences de conformité. Les citoyens chinois justifiant d'une résidence à l'étranger ou ayant obtenu le statut de résident fiscal local peuvent ouvrir un compte auprès d'un courtier réglementé par l'OCRCVM en soumettant une documentation complète et en réussissant la procédure de vérification de conformité. Les autres personnes ayant des besoins en matière d'investissement sur le marché des changes devraient privilégier les canaux conformes à la réglementation chinoise afin d'éviter toute infraction.



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